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Pourquoi une Formation Gestes et Postures Permet de Diminuer l’Absentéisme et de Renforcer la Productivité des Salariés en Suisse Romande ?

Pourquoi une Formation Gestes et Postures Permet de Diminuer l’Absentéisme et de Renforcer la Productivité des Salariés en Suisse Romande ?

Introduction

En Suisse romande, les Ressources Humaines jouent un rôle essentiel dans le bien-être des employés. Face à une prise de conscience croissante des enjeux liés à la santé au travail, les entreprises prennent de plus en plus des mesures préventives pour protéger leurs collaborateurs. SwissNova propose des formations gestes et postures dans les cantons de Genève, Vaud, Valais, Berne, Fribourg, et Neuchâtel, afin d’aider les entreprises à prévenir les troubles musculo-squelettiques (TMS) et à renforcer la productivité de leurs salariés. Pourquoi est-il crucial d’intégrer ces formations au sein des équipes ? Comment cette approche permet-elle de réduire l’absentéisme et d’améliorer la performance au travail ?

1. Réduction de l’Absentéisme : Une Nécessité pour les Entreprises

Les troubles musculo-squelettiques (TMS) représentent la principale cause d’absentéisme en entreprise. Ces troubles, souvent liés à de mauvaises postures ou à des gestes répétitifs, peuvent entraîner des douleurs chroniques, des blessures et des arrêts de travail prolongés. En Suisse romande, les secteurs tels que l’industrie, le secteur de la santé, l’administration et la distribution, où des postures statiques ou des efforts physiques sont fréquents, sont particulièrement concernés.

SwissNova propose des formations gestes et postures dans les cantons de Genève, Vaud, Valais, Berne, Fribourg, et Neuchâtel, permettant aux entreprises d’agir en amont pour prévenir ces risques. Ces formations offrent aux employés les outils nécessaires pour ajuster leurs gestes et postures au travail, réduisant ainsi les risques de blessures et diminuant significativement l’absentéisme lié aux TMS.

2. Renforcement de la Productivité des Salariés

Un salarié qui souffre de douleurs physiques a du mal à se concentrer, à travailler efficacement, et peut se sentir épuisé. Une formation gestes et postures permet aux employés d’adopter des comportements corporels adaptés pour éviter les douleurs, ce qui réduit la fatigue et augmente leur capacité à travailler de manière productive.

En enseignant les bonnes pratiques posturales, telles que l’ergonomie au poste de travail, les techniques de soulèvement correctes, ou encore la gestion de la position assise, SwissNova permet aux entreprises de booster la productivité. Des salariés qui ne souffrent pas de douleurs physiques sont plus réactifs, plus concentrés et plus performants. La prévention des TMS devient donc un véritable levier pour améliorer la performance au travail.

3. Un Investissement Préventif et Durable

Opter pour une formation gestes et postures dispensée par SwissNova dans les cantons de Genève, Vaud, Valais, Berne, Fribourg, et Neuchâtel est un investissement à long terme dans la santé et la productivité des salariés. En agissant dès le départ pour prévenir les blessures, les entreprises protègent non seulement leurs collaborateurs mais aussi leurs ressources financières. Moins d’absentéisme et moins de dépenses liées aux soins de santé permettent aux entreprises de réaliser des économies tout en favorisant une meilleure gestion des coûts.

4. Pourquoi Choisir de Former en Suisse Romande avec SwissNova ?

Les entreprises suisses romandes, conscientes des enjeux liés à la qualité de vie au travail, intègrent de plus en plus la formation continue dans leur stratégie. Dans les cantons de Genève, Vaud, Valais, Berne, Fribourg, et Neuchâtel, SwissNova se distingue en proposant des formations sur mesure adaptées aux besoins spécifiques de chaque entreprise. Ces formations sont conçues pour répondre aux défis ergonomiques des différents secteurs d’activité, qu’il s’agisse d’améliorer l’ergonomie des postes de travail ou de promouvoir des gestes plus efficaces et moins contraignants.

Grâce à son expertise en ergonomie et gestion des postures, SwissNova accompagne les entreprises dans la mise en place de solutions efficaces pour préserver la santé de leurs collaborateurs tout en optimisant leur productivité. En offrant des formations adaptées aux réalités locales des cantons suisses, SwissNova contribue à créer un environnement de travail plus sain et plus performant.

Conclusion

La formation gestes et postures est un investissement indispensable pour les entreprises de Suisse romande, particulièrement dans les cantons de Genève, Vaud, Valais, Berne, Fribourg, et Neuchâtel. Elle permet de réduire l’absentéisme, d’améliorer la productivité des salariés et de répondre aux exigences légales en matière de sécurité au travail. SwissNova, avec son expertise en ergonomie et en formation continue, offre des solutions pratiques et efficaces pour prévenir les troubles musculo-squelettiques et améliorer le bien-être des collaborateurs. En intégrant ces formations dans leur stratégie, les entreprises non seulement préservent la santé de leurs employés, mais renforcent également leur performance et leur durabilité à long terme.

 

Les Compétences Soft Skills les Plus Recherchées en Suisse en 2025 : Focus sur le Canton de Fribourg

Les Compétences Soft Skills les Plus Recherchées en Suisse en 2025 : Focus sur le Canton de Fribourg

 

En 2025, les compétences techniques restent essentielles dans le monde professionnel, mais ce sont les soft skills qui prennent une importance cruciale en Suisse, notamment dans le canton de Fribourg. Ces compétences humaines et comportementales permettent de mieux s’adapter aux défis d’un environnement de travail en constante évolution. À Fribourg, où l’économie bénéficie d’un mélange unique de diversité culturelle et de secteurs dynamiques, la demande pour des soft skills bien spécifiques se renforce. Les entreprises locales recherchent de plus en plus des talents capables de combiner expertise technique et intelligence émotionnelle.

Dans cet article, nous explorons les soft skills les plus prisées en Suisse en 2025 et leur importance pour le canton de Fribourg, ainsi que les solutions de formation en management offertes par SwissNova pour développer ces compétences.

 

1. L’intelligence émotionnelle

L’intelligence émotionnelle reste l’une des compétences les plus valorisées en 2025. Elle englobe la capacité à identifier, comprendre et gérer ses émotions, ainsi que celles des autres. Dans le canton de Fribourg, où les entreprises opèrent dans un environnement culturellement diversifié, cette compétence est un atout majeur pour favoriser un climat de travail harmonieux. Les managers qui développent leur intelligence émotionnelle peuvent mieux gérer les équipes multiculturelles et résoudre les conflits de manière constructive.

Formation proposée : SwissNova offre à Fribourg des programmes de formation en management qui intègrent le développement de l’intelligence émotionnelle. Ces formations aident les leaders à renforcer leur empathie et leur écoute active pour une gestion d’équipe plus équilibrée.

 

2. La communication interpersonnelle

Une communication claire et efficace est essentielle dans le monde du travail, notamment dans les organisations fribourgeoises qui emploient souvent des équipes bilingues, voire trilingues. Les employés qui maîtrisent les techniques de communication interpersonnelle sont capables de transmettre des informations complexes de manière concise et constructive, ce qui est vital pour éviter les malentendus dans un cadre multiculturel.

Formation proposée : SwissNova propose des ateliers de communication en entreprise à Fribourg pour aider les professionnels à améliorer leurs compétences en communication interpersonnelle. Ces formations sont conçues pour les aider à adapter leur discours à différents publics et à renforcer leur impact dans leurs interactions quotidiennes.

 

3. La gestion du stress et de la résilience

La résilience et la gestion du stress sont devenues des compétences clés en 2025, en particulier avec les changements rapides dans le monde professionnel. À Fribourg, où de nombreuses entreprises opèrent dans des secteurs très compétitifs comme l’ingénierie et l’innovation technologique, savoir gérer la pression est un avantage considérable.

Formation proposée : Les programmes de formation en management de SwissNova, disponibles à Fribourg, incluent des modules dédiés à la gestion du stress et au développement de la résilience. Ces formations permettent aux professionnels de mieux faire face aux défis quotidiens et de maintenir un équilibre entre vie professionnelle et personnelle.

 

4. La pensée critique et la résolution de problèmes

Avec la montée de l’automatisation, les entreprises recherchent des employés capables d’analyser les problèmes complexes et de proposer des solutions innovantes. Fribourg, avec son riche écosystème d’entreprises industrielles et de PME, valorise particulièrement cette compétence qui encourage une prise de décision réfléchie et la capacité de s’adapter rapidement.

Formation proposée : SwissNova offre des formations en management à Fribourg qui visent à développer la pensée critique et la résolution de problèmes. Grâce à des exercices pratiques et des études de cas, les participants apprennent à identifier les causes des problèmes et à appliquer des solutions efficaces.

 

5. La collaboration et le travail d’équipe

La capacité à collaborer de manière fluide avec différentes équipes est essentielle, en particulier dans un canton comme Fribourg où les entreprises travaillent souvent en partenariat avec des entités internationales. La collaboration est un levier important pour favoriser l’innovation et la productivité au sein des équipes.

Formation proposée : SwissNova organise à Fribourg des ateliers de team building et de collaboration qui renforcent les compétences de travail en équipe. Ces formations encouragent la confiance et la communication au sein des équipes, créant ainsi un environnement propice à l’innovation.

 

6. L’adaptabilité et la flexibilité

Dans un monde professionnel en perpétuelle évolution, l’adaptabilité est plus que jamais essentielle. Les professionnels capables de s’adapter aux changements organisationnels ou technologiques sont un atout précieux pour les entreprises de Fribourg, où les marchés et les besoins des clients évoluent rapidement.

Formation proposée : SwissNova propose des programmes pour développer l’adaptabilité des managers à Fribourg, en leur apprenant à gérer le changement et à rester agiles dans leur approche de la gestion d’équipe.

 

Pourquoi ces soft skills sont essentielles pour Fribourg en 2025 ?

Le canton de Fribourg attire un grand nombre de talents de toute la Suisse et de l’étranger grâce à son environnement économique favorable et ses industries diversifiées. Cependant, pour garantir la performance et l’épanouissement de ces talents, il est crucial de cultiver ces soft skills. La demande croissante pour des formations en management et en soft skills à Fribourg témoigne de l’engagement des entreprises locales à développer des leaders et des collaborateurs capables de naviguer efficacement dans un monde du travail en pleine transformation.

 

Conclusion

En 2025, les soft skills sont devenues aussi importantes que les compétences techniques pour les professionnels en Suisse et en particulier dans le canton de Fribourg. Que ce soit pour améliorer la communication, renforcer la résilience ou développer l’intelligence émotionnelle, SwissNova propose des formations en management à Fribourg qui répondent aux besoins des entreprises locales et permettent aux talents de développer ces compétences clés pour réussir dans un marché du travail en constante évolution.

L’effet ciseau dans le management des entreprises en Suisse romande : Un défi croissant pour le canton de Fribourg

L’effet ciseau dans le management des entreprises en Suisse romande : Un défi croissant pour le canton de Fribourg

Les entreprises de Suisse romande, et en particulier celles du canton de Fribourg, font face à un phénomène managérial complexe et préoccupant : l’effet ciseau. Ce terme désigne la difficulté croissante à recruter et fidéliser de jeunes talents, alors que de plus en plus de cadres expérimentés, issus de la génération des baby-boomers, prennent leur retraite. Cette double pression met en évidence la nécessité pour les entreprises d’adopter de nouvelles stratégies, notamment en matière de formation, pour répondre à ces défis.

 

Des jeunes talents difficiles à recruter et à fidéliser

Les jeunes professionnels, issus des générations Y et Z, représentent une nouvelle dynamique sur le marché du travail. Ils recherchent des environnements de travail plus flexibles, davantage orientés vers les valeurs, le développement personnel et un équilibre vie privée-vie professionnelle. Toutefois, beaucoup d’entreprises peinent à s’adapter à ces nouvelles attentes, ce qui rend le recrutement et la rétention de ces jeunes talents de plus en plus difficiles.

Dans le canton de Fribourg, par exemple, de nombreuses entreprises locales font face à ce défi de taille. Le fossé se creuse entre les attentes des jeunes professionnels et les pratiques managériales traditionnelles, souvent perçues comme rigides. Une formation en management adaptée à ces nouvelles exigences pourrait permettre de mieux comprendre les aspirations de ces jeunes collaborateurs et d’ajuster les méthodes de gestion en conséquence.

 

La vague de départs en retraite des baby-boomers

Parallèlement, les entreprises voient partir une génération de collaborateurs ayant accumulé des décennies d’expérience et de savoir-faire. Les départs massifs à la retraite des baby-boomers créent un vide managérial et technique difficile à combler. Le transfert de compétences est souvent incomplet, et les nouveaux arrivants n’ont pas toujours le temps ou les moyens d’acquérir l’expertise nécessaire aussi rapidement.

Dans ce contexte, les entreprises de Fribourg et plus largement de Suisse romande sont confrontées à un véritable casse-tête : comment combler ces départs tout en répondant aux nouvelles attentes des jeunes générations ?

 

La formation en soft skills comme solution

Face à cet effet ciseau, une réponse prometteuse réside dans l’investissement dans les soft skills, ou compétences comportementales. Les soft skills, comme la communication, le leadership, la gestion du stress ou encore l’intelligence émotionnelle, jouent un rôle essentiel dans l’adaptation aux nouveaux défis managériaux.

Les entreprises qui investissent dans des formations en management axées sur les soft skills, telles que celles proposées par SwissNova, sont mieux armées pour attirer, fidéliser et motiver les jeunes talents, tout en assurant un transfert de compétences efficace avec les générations plus âgées. En effet, le développement des soft skills permet non seulement de créer un environnement de travail plus attractif pour les jeunes générations, mais aussi de faciliter la transmission des savoirs et de renforcer la cohésion intergénérationnelle.

 

Le rôle central du canton de Fribourg

Le canton de Fribourg, connu pour son dynamisme économique, est un bon exemple des défis et des opportunités liés à l’effet ciseau. En tant que région avec un tissu industriel et entrepreneurial varié, Fribourg doit relever ces défis avec des solutions novatrices. L’investissement dans des formations en management adaptées, comme celles de SwissNova, constitue un levier stratégique pour les entreprises fribourgeoises cherchant à s’adapter à cette nouvelle réalité.

Que ce soit pour comprendre les attentes des jeunes talents ou pour assurer la relève des cadres expérimentés, le développement des compétences en leadership et en communication est aujourd’hui indispensable pour garantir la compétitivité des entreprises locales. Dans ce cadre, SwissNova propose des formations ciblées et personnalisées, répondant aux besoins spécifiques des managers du canton de Fribourg et de toute la Suisse romande.

 

Conclusion

L’effet ciseau met en lumière une tension grandissante dans le management des entreprises en Suisse romande : d’un côté, le départ des baby-boomers, et de l’autre, la difficulté à recruter et fidéliser les jeunes générations. Pour répondre à ces défis, la formation en management, et notamment le développement des soft skills, apparaît comme une solution clé. Les entreprises de Fribourg et de Suisse romande peuvent s’appuyer sur l’expertise de SwissNova pour se former et s’adapter à ces nouvelles réalités, en garantissant un management intergénérationnel solide et performant.

En investissant dans ces formations, les entreprises ont l’opportunité de construire un avenir managérial plus flexible, innovant et durable, capable de répondre aux attentes de demain.

 

Contactez-nous dès aujourd’hui pour en savoir plus sur nos formations à Fribourg et découvrez comment Swissnova peut vous aider à atteindre vos objectifs professionnels.

Quelques-unes de nos formations dispensées à Fribourg:

 

Swissnova ouvre une nouvelle agence à Fribourg : Une nouvelle ère pour la formation en management et communication

Swissnova ouvre une nouvelle agence à Fribourg : Une nouvelle ère pour la formation en management et communication

Swissnova, acteur majeur dans le domaine de la formation professionnelle, est fier d’annoncer l’ouverture de sa nouvelle agence à Fribourg. Située en plein cœur de la ville, cette nouvelle antenne vise à répondre à la demande croissante de formations en management et communication à Fribourg, tout en offrant des solutions personnalisées adaptées aux entreprises locales.

 

Une offre de formation complète à Fribourg

Notre nouvelle agence à Fribourg permet désormais aux entreprises de la région d’accéder facilement à des programmes de formation en management à Fribourg et de formation en communication à Fribourg. Ces formations sont conçues pour développer les compétences essentielles en leadership, gestion de projet, communication interpersonnelle et bien plus encore.

  • Formation en management à Fribourg : Que vous soyez un manager en devenir ou un cadre expérimenté souhaitant renforcer vos compétences, nos formations en management vous aident à acquérir les outils nécessaires pour diriger avec efficacité. Nous abordons des thématiques telles que la gestion du changement, le développement d’équipes performantes et le leadership en situation de crise. Découvrez-en plus sur nos programmes ici.
  • Formation en communication à Fribourg : Une communication claire et efficace est essentielle au succès de toute entreprise. Nos programmes de formation en communication à Fribourg couvrent des sujets tels que la prise de parole en public, la gestion des conflits, la communication non-verbale, ainsi que les techniques de persuasion et de négociation. Explorez nos formations en communication ici.

 

Pourquoi choisir Swissnova pour vos formations à Fribourg ?

Depuis des années, Swissnova se distingue par son approche personnalisée, mettant l’accent sur des solutions de formation adaptées aux besoins spécifiques de chaque organisation. Avec l’ouverture de cette nouvelle agence, nous renforçons notre présence en Suisse romande et nous nous rapprochons de nos clients pour leur offrir un service encore plus réactif et accessible.

En choisissant Swissnova Fribourg, vous bénéficiez :

  • D’une équipe d’experts formateurs, spécialisés dans divers secteurs.
  • De programmes de formation flexibles, adaptés à vos contraintes professionnelles.

 

Des formations sur mesure pour les entreprises de Fribourg

L’agence de Swissnova Fribourg propose des formations sur mesure, conçues spécifiquement pour répondre aux défis uniques des entreprises locales. Que vous soyez une PME ou une grande organisation, nous travaillons avec vous pour développer des solutions de formation qui répondent à vos objectifs stratégiques, que ce soit en management, communication, ou dans d’autres domaines clés.

 

Inscrivez-vous dès aujourd’hui à nos formations à Fribourg

L’ouverture de notre agence à Fribourg marque une nouvelle étape dans notre volonté de rendre la formation en management et la formation en communication plus accessibles à tous. Que vous souhaitiez améliorer les compétences de vos équipes ou approfondir vos propres connaissances, Swissnova Fribourg est là pour vous accompagner.

Contactez-nous dès aujourd’hui pour en savoir plus sur nos formations à Fribourg et découvrez comment Swissnova peut vous aider à atteindre vos objectifs professionnels.

 

Développer les Soft Skills à l’Ère de l’Intelligence Artificielle : L’Avantage Concurrentiel des Entreprises en Suisse Romande

Développer les Soft Skills à l’Ère de l’Intelligence Artificielle : L’Avantage Concurrentiel des Entreprises en Suisse Romande

L’intelligence artificielle (IA) bouleverse rapidement le monde du travail, mais elle ne remplace pas l’importance des compétences humaines. Les soft skills, ou compétences interpersonnelles, sont plus que jamais essentielles à l’ère de l’automatisation. Elles permettent aux entreprises de maintenir une collaboration efficace, de gérer le changement et d’innover dans un environnement en constante évolution.

 

Pour aider les entreprises à tirer parti de l’IA tout en renforçant ces compétences humaines, SwissNova propose des formations soft skills sur mesure en Suisse romande ainsi que des formations en intelligence artificielle. Ces programmes permettent aux entreprises de former leurs équipes à collaborer avec les technologies tout en maximisant leurs capacités humaines.

 

L’Importance des Soft Skills avec l’Émergence de l’IA

 

Bien que l’IA puisse automatiser des tâches répétitives et améliorer l’efficacité, elle ne peut pas remplacer des compétences humaines comme le leadership, la créativité et la communication interpersonnelle. Ces soft skills sont devenues des atouts stratégiques pour les entreprises en Suisse romande, où la concurrence est élevée et où la flexibilité est cruciale.

 

Chez SwissNova, nos formations soft skills sur mesure aident les entreprises à préparer leurs collaborateurs à mieux naviguer dans un environnement professionnel où l’IA occupe une place de plus en plus importante.

 

D’autre part, pour que l’IA soit un allié, il est également important que les employés comprennent comment l’utiliser efficacement. C’est pourquoi SwissNova propose également des formations en intelligence artificielle pour aider vos équipes à intégrer l’IA dans leurs processus de travail.

 

Les Soft Skills : Complémentaires à l’Intelligence Artificielle

 

Les soft skills et l’IA se complètent parfaitement. Alors que l’IA gère les tâches techniques, les soft skills renforcent la capacité des individus à collaborer efficacement avec ces nouvelles technologies et à innover dans des environnements en évolution. Voici quelques-unes des compétences humaines que les formations SwissNova aident à développer :

 

  • Adaptabilité et flexibilité : Dans un monde où les technologies évoluent rapidement, les entreprises ont besoin d’employés capables de s’adapter et de gérer les transitions. Nos formations en soft skills vous aident à développer cette compétence cruciale.
  • Pensée critique et résolution de problèmes : L’IA peut analyser les données, mais elle ne peut pas résoudre des problèmes complexes de manière créative. Les formations en IA et en soft skills permettent de combiner ces deux forces.
  • Leadership : Guidant vos équipes dans un environnement technologique en mutation, nos formations en leadership permettent aux managers de mieux intégrer l’IA dans leur management.

 

Pourquoi les Formations Soft Skills sur Mesure sont Essentielles ?

 

À mesure que l’IA devient plus répandue, les soft skills deviennent un élément de différenciation clé pour les entreprises. Les formations soft skills sur mesure en Suisse romande proposées par SwissNova vous permettent de renforcer ces compétences essentielles chez vos collaborateurs. En parallèle, nos formations en IA fournissent les outils nécessaires pour que vos équipes utilisent l’IA à leur avantage.

 

  1. Communication efficace et gestion du stress : Avec l’automatisation des tâches, les interactions humaines et la gestion des situations complexes nécessitent des compétences de communication. Nos formations soft skills aident à mieux gérer ces interactions.
  2. Collaboration homme-machine : Travailler avec l’IA nécessite une compréhension des outils, mais aussi une capacité à les guider avec discernement. Grâce à nos formations en intelligence artificielle, vos équipes pourront mieux intégrer l’IA dans leurs opérations quotidiennes.
  3. Résolution de problèmes complexes : Les machines ne remplacent pas la créativité humaine. C’est pourquoi SwissNova met l’accent sur les formations en pensée critique, permettant à vos équipes de trouver des solutions innovantes.

 

Préparez vos Équipes pour l’Avenir avec SwissNova

 

Alors que l’IA continue de transformer le monde du travail, l’investissement dans les soft skills devient plus crucial que jamais. Les formations soft skills sur mesure et les formations en IA de SwissNova vous aident à préparer vos équipes à relever les défis du futur. En combinant ces deux types de compétences, vous assurez une intégration fluide entre l’humain et la machine, favorisant une innovation continue et une productivité accrue.

 

Pour en savoir plus sur nos formations soft skills sur mesure en Suisse romande et découvrir comment les formations en IA peuvent renforcer les capacités de vos équipes, contactez SwissNova dès aujourd’hui. Ensemble, nous construirons un avenir où l’IA et les compétences humaines se complètent parfaitement.

 

 

 

EXPERIENCE UTILISATEUR ET TEAM BUILDING : LE LEGO SERIOUS PLAY CASSE-T-IL VRAIMENT DES BRIQUES ?

EXPERIENCE UTILISATEUR ET TEAM BUILDING : LE LEGO SERIOUS PLAY CASSE-T-IL VRAIMENT DES BRIQUES ?

De grand enfants réunis autour d’une table de goûter lego qui bâtissent des tours et communiquent en 3D. Au début, on croit à un gag décalé et répétitif faisant fi de toute vraisemblance façon saga Lego sur grand écran (la Grande Aventure Lego, Lego Batman, Ninja Lego…). Et pourtant, le premier constructeur de jouets au monde a toujours proposé des ponts entre l’imaginaire et le réel du monde du travail….

En 2014 sort sur grand écran un film d’animation à la gloire d’une célèbre marque de jouets, La Grande Aventure Lego. Transmetteur de valeurs progressistes aux enfants, le blockbuster surclasse tout ce qui avait pu être fait par le passé en termes de placement de produits.

Enfant-adulte-enfant

Le pitch ? Dans un univers hyper-contrôlé, des dissidents sauvent le monde en abattant les frontières imposées arbitrairement entre différents univers Lego, judicieuse façon pour la brand de décliner son large éventail de réalisations. Faut-il se laisser séduire par un géant de l’industrie qui nous appelle à déconstruire les hiérarchies pour mieux construire une société participative et collaborative ?

Dès l’origine en 1932 de la grande firme de parc à thèmes à bâtir grâce à des briquettes colorées, les constructions en lego se sont pensées comme autant de passerelles entre l’imaginaire et la réalité de la Cité de nos métiers. Si l’enfant a pu exaucer ses rêves d’architecte et de pusher de stories fantastiques en théâtre d’objets (atterrissage de l’ambulance à la station-service devenue base lunaire), les adultes ne peuvent-ils échafauder leurs stratégies qui déchirent à venir ?

Game more, work better ?

Attachée à la liberté de construire les liens en entreprise, abandonnant le management top-down et la verticalité, la firme Lego remet ensuite le couvert gaming démocratique. Le principe du Lego Serious Play (LSP ou Jeux sérieux Lego) qui n’est pas encore aussi addictif que le cenovis (si tu aimes pas, choose ce que tu like à tartiner) ? Un lego, une personne, un vote. Les gamers-cibles ? Des collaborateurs- (top management inclus dans la boîte à outils) au sein d’entreprises de toutes tailles et orientations avenir/service/clients sont invités à mettre sur la table : créativité, soft skills, compétences-clés, qualité d’écoute et force de propositions. Swissnova propose d’ailleurs des modules de formation Lego Serious Play ou des workshops en utilisant cette méthode.

Face au Lego Serious Play, d’abord tu es troublé. Où est passé l’écran chéri de tes jeux vidéographiés favoris à commandes wii, vocale, tactile, et autres manettes ? La fluidité d’une virtualité solitaire ou en réseau n’est plus ici qu’un vague souvenir. D’où le sentiment d’être un peu nu, d’avoir délaissé ses fringues laptop et réseaux sociaux au vestiaire. C’est le retour vers le futur Made in Legoland. Et leurs fameux post-its que tu avais cru remisé dans le grenier de ta vie ou sur ton frigo.

En manipulant les figurines et briquettes de tes petits doigts qui n’arrivent pas immédiatement, pleinement, à retrouver l’enfant qui sommeille derrière le jeu sérieux, tu rêves tout haut…

Mon premier est : la LSP a été développée pour mobiliser et engager les participants. Mon second affirme : décloisonner et construire en intelligence collective. Ou travailler productivement et collaborativement en équipes, tu sauras, young, middle-aged ou senior gamer. Mon troisième est une barre énergétique pour ta PME à tatouer dans ton quotidien : booster l’innovation et la performance des organisations. Mon quatrième est une prise de confiance : libérer la pensée créative. Mon tout est : un berceau à métamorphoses pour transformer les idées en engagements individuels et collectifs.

« All included »

Chaque personne intégrée au jeu est active. Elle peut s’exprimer en toute confiance, quel que soit son degré d’aisance ou de familiarité avec les échanges verbaux.

En témoigne ce participant à un atelier :

« La méthode fédère l’intégralité de l’équipe autour du jeu. Aucun participant ne peut se cacher, comme cela arrive parfois dans des séances de formation classiques, où ceux qui ont une certaine aisance relationnelle et un ascendant sur les autres s’expriment plus souvent. »

lego serious play

Au centre du gaming, le plaisir d’apprendre de soi et des autres. Comment ? A l’image des jeux vidéo notamment, par des défis gradués, individuels puis collectifs à expérimenter sur un temps naturellement limité. Mais, élément fondamental, il s’agit d’une forme de compétition-émulation sans enjeu (récompenses, primes, promotions…). A chacun donc de proposer des solutions inventives et astucieuses.

La méthode Lego Serious Play (LSP) a pour objectif de favoriser les participants à s’exprimer globalement (réflexions et idées) et non pas à produire des solutions dogmatiques et absolues. Il y a plusieurs réponses possibles Et le processus permet de développer les différentes perspectives. Donc, pas de « vrai » ou de « faux ».

Pouvoir à la créativité : un voyage inattendu

La méthode LSP met en avant l’apprentissage par l’usage des mains. Dans un laps de temps restreint, les participants sont invités à manipuler et assembler les briques sans se creuser la tête. Dûment formé, un facilitateur certifié a pour rôle de concevoir, encadrer et animer ce type d’atelier.

Le modèle en 3D échafaudé est expliqué par chaque participant à tour de rôle, à la manière d’une histoire, dans un laps de temps également restreint. Le facilitateur est ici un embrayeur de questions. L’utilisation du cerveau en mode préfrontal permettrait d’établir de nouvelles connexions censées doper l’imaginaire et une création sans contraintes. Structurant les résultats de l’atelier (sous formes de lignes directrices), le facilitateur, sorte de game master s’emploie à faire lever un vent de confiance afin de générer une expérience d’apprentissage dans le plaisir. Ainsi le flow ou implication mentale d’un sujet immergé dans une activité est-il dopé. L’éthique du jeu est basée sur le respect indéfectible des uns envers les autres. Les personnes impliquées dans une construction quelconque apprennent plus easely et speedy. C’est le psychologue et logisticien neuchâtelois Jean Piaget qui le dit ! On te répète l’info pour te la tatouer en mémoire, le LSP étant orienté sur la stimulation multi-sensorielle (« Tu te calmes ! »).

Plongée dans un atelier LSP

Tout est soigneusement réfléchi et les ensembles de briques ont été soigneusement sélectionnées par les créateurs de la méthode.

Un tour de préparation te permet de bâtir une tour lego à laquelle tu peux t’identifier, grand architecte d’un univers miniature que tu es. Tu optes pour l’un des trois modèles. Sans oublier de construire ton « client idéal » (à partir d’un pack de pièces). En solo, tu échafaudes ton « expérience version prospection ».

A ce stade, les figurines à effigie de « grand méchant » font un tabac. Partage et échange. Une plaque commune est créée pour mettre en commun les idées clé, des fragments de sa construction. Tu peux la transformer et la connecter avec d’autres. Une nouvelle histoire naît « ensemble. » A chaque étape, toute personne présente réalise son story-making. Le facilitateur, lui, se pose la question : « Pour toi, la couleur de cette brique a-t-elle une signification singulière ? ». Cet atelier est le premier niveau d’une méthode qui en compte sept.

Le LSP favorise ainsi la mise en idées et la co-création. Ainsi apprend-t-on à identifier les problèmes, émettre des points de vues contrastés, voire contradictoires. Puis on s’emploie à faire émerger et à mettre le cap sur la convergence. Par le temps dévolu au partage et à la fusion des idées, le groupe pourra in fine s’aligner sur d’heureuses solutions.

Le Lego Serious Play, c’est un peu comme le sexe quand on est ado. Beaucoup en parle, mais personne ne sait véritablement comment procéder, voici quelques vidéos et retours d’expériences pour un premier contact. Bon jeu, mais sérieux !

Texte par Bertrand Tappolet


Retours d’expériences

LSP AVE PARTNER
Seriousplay by Relianecs
Storytelling avec LSP

Vidéos didactiques

LSP Méthodologie
LSP pour l’éducation
Présentation de la méthode LSP
4 avantages de la méthode LSP
Conférence sur LSP

Vidéos présentation et expériences du LSP:

LSP Meetup Berlin
Collection de pages sur le sujet
Conférence de Marko Rillo
Introduction au LSPExemple de Workshop
Exemple chez Agile AMPED

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lego_Serious_Play
cité ci-dessus : http://www.pearltrees.com/laet70/serious-laetitia-ramberti/id14600865

Photo credit : aitoff ; eak_kkk via pixabay.com

Manager avec l’intelligence émotionnelle

Manager avec l’intelligence émotionnelle

Nous avons tous des souvenirs d’un chef ou d’une cheffe qui nous a vraiment touchés par sa façon d’être. Nous n’avons pas forcément des souvenirs de ce qu’ils nous ont dit, mais plutôt des émotions qu’ils ont suscitées en nous.

Un bon leadership peut être difficile à cerner et à comprendre. Vous connaissez un bon leader quand vous travaillez pour lui. Mais même ces leaders-là peuvent avoir du mal à expliquer les spécificités de ce qu’ils font et qui rend leur leadership si efficace. Un grand leadership est dynamique, il combine une variété de compétences uniques dans un ensemble intégré.

 

Qu’est-ce que l’intelligence émotionnelle

Selon la définition de Daniel Goleman (1995) qui est la plus répandue dans le monde de l’organisation : « L’intelligence émotionnelle est une métacapacité à dialoguer avec ses émotions et celles des autres pour renforcer la qualité et la puissance de ses relations. »

Nous sommes confrontés à l’intelligence émotionnelle quotidiennement, car c’est un ensemble de savoir-faire et de savoir-être comportementaux et cognitifs qui nous permettent d’accroître la gestion de nos propres émotions et celles d’autrui.

Elle se mesure par le quotient émotionnel (QE) et elle peut se développer à tout âge. La maîtrise de ses émotions et celles de ses collaborateurs est liée au processus qui conduit à la connaissance de soi et des autres.

Pourquoi mettre l’intelligence émotionnelle (IE) dans son management ?

Souvent, nous jugeons l’intelligence et le leadership en nous basant sur le QI, les compétences techniques et l’expérience, mais en négligeant la composante essentielle de l’intelligence émotionnelle.

Les études de Gallup montrent que 70% de la motivation d’un employé est influencée par son manager. Il n’est pas étonnant que les employés ne quittent pas leurs emplois, mais leurs managers.

Mettre l’intelligence émotionnelle (IE) dans son management, c’est s’adapter à un environnement professionnel changeant, complexe et plutôt violent. Cette violence n’est pas physique, mais économique, psychologique et sociale.

Il est primordial pour les managers d’aujourd’hui de comprendre l’impact de l’IE sur la réussite et la motivation de l’équipe, car elle est la compétence indispensable.

Selon Daniel Goleman, qui a auditionné des centaines d’entreprises, étudié des milliers de cas et en a tiré les conclusions suivantes : les personnes qui réussissent, les managers qui sont les plus efficaces, les chefs d’entreprise qui prospèrent ne sont pas ceux qui ont le meilleur QI, mais bien ceux qui disposent d’un bon QE.

L’étude du Dr Travis Bradberry sur l’intelligence émotionnelle des personnalités sur le lieu de travail a découvert que l’intelligence émotionnelle était le meilleur indicateur de la haute performance dans tous les types d’emplois. Le QE d’un dirigeant augmente au fur et à mesure qu’il gravit les échelons de la hiérarchie. Il augmente et culmine au niveau du manager et tombe de manière significative au poste de CEO.

Comment utiliser l’intelligence émotionnelle dans son management ?

Tout d’abord, le manager doit prendre conscience de ses propres émotions.

Lorsqu’il comprend le processus déclencheur de ses réactions émotionnelles : ses peurs, ses colères, ses tristesses et ses joies. Il pourra alors apprendre comment les exprimer, les maîtriser et les contrôler.

Cette connaissance lui permet de mieux analyser ses comportements face à des situations managériales délicates (conflits, pressions…) afin de mieux réussir à piloter ses émotions, et à prendre de la distance pour mieux assumer ses responsabilités.

Ensuite, il est essentiel de savoir gérer les émotions de ses collaborateurs.

La manager doit apprendre à développer son empathie qui est une qualité nécessaire pour motiver et faire adhérer ses collaborateurs. L’écoute active et la disponibilité permettent de mieux repérer leurs émotions.

Le manager doit faciliter l’expression de chaque collaborateur individuellement et en équipe cela l’aide à faire le diagnostic de leurs points forts, leurs axes de progrès, leurs besoins et résistances.

Une fois que ce travail est fait, il est beaucoup plus facile de transformer les désaccords en opportunités de coopération et de partenariat et de ramener l’équilibre dans le climat émotionnel de l’entreprise.

Les personnes ayant un QE élevé équilibrent les bonnes manières, l’empathie et la gentillesse avec la capacité de s’affirmer et d’établir des limites. Cette combinaison délicate est idéale pour gérer les conflits. Lorsque la plupart des gens se croisent, ils adoptent par défaut un comportement passif ou agressif. Les personnes émotionnellement intelligentes restent équilibrées et autoritaires en s’éloignant des réactions émotionnelles non filtrées. Cela leur permet de neutraliser les personnes difficiles et toxiques sans créer d’ennemis.

Le contexte économique moderne nécessite donc une adaptation des méthodes de management. En effet, il s’agit de manager des êtres humains qui sont par définition complexes, car lorsqu’ils sont affectés par des émotions positives ou négatives cela représente respectivement des facteurs bénéfiques ou défavorables en terme : d’engagement, de motivation, de qualité de vie au travail, d’efficacité, d’épanouissement et de risques psychosociaux.

L’intelligence émotionnelle permet un management plus efficace et plus agile dans la motivation des équipes, afin d’aborder les changements avec des collaborateurs acteurs et non spectateurs.

 

Texte par Nhu Pagliara

Sources :

Manager avec l’intelligence émotionnelle chez Manager Humain

Comment émouvoir le travail avec l’intelligence émotionnelle par le Blog L’entreprise

Différents articles de Talent Smart dont « Les 11 signes qui montrent que vous manquez d’intelligence émotionnelle. »

Photo credit : John Lester via flickr.com (Creative Commons)

La détection des talents

La détection des talents

Je détecte, je sélectionne et je garde les talents.

Comment détecter les talents : méthode et inspiration, par Swissnova Blog Formation

 

Le talent, faut-il prendre son temps pour le recruter ? La réponse est oui, car la sélection du talent peut déterminer l’efficacité et la rentabilité du futur employé, par rapport aux besoins de l’entreprise. Selon les cas, la bonne gestion du talent peut aussi déterminer le succès économique de l’employeur et de l’entreprise.

 

Avant toute chose, définissons ce qu’est un talent ? C’est une personne ayant d’une part, une expérience professionnelle solide, et d’autre part, de très bonnes connaissances du secteur choisi.

 

Le choix du talent est en effet crucial pour l’entreprise, car celle-ci investit du temps et de l’argent lors du processus de recrutement. Il faut être sûr que la personne détectée, puis recrutée ait les capacités et les connaissances pour s’orienter sur un horizon plus grand. En effet, il se peut que la personne choisie soit amenée à évoluer au sein de l’entreprise, soit en raison d’un nouveau poste, soit suite à la détection de compétences cachées.[/vc_column_text][vc_column_text]

Le recrutement d’un talent se déroule en trois étapes :

La détection du talent

L’étape de détection des futurs talents est la plus importante dans la mesure où celle-ci permet d’évaluer le potentiel et les capacités du futur employé. Avant les autres étapes, elle permet de se positionner et de « détecter » si la personne peut rejoindre ou non la compagnie.

La sélection du talent

La sélection permet de réellement s’assurer que les compétences du talent correspondent au poste en question, mais également de savoir si ce dernier pourrait s’intégrer de manière durable la compagnie.

La rétention du talent

La dernière étape du processus de recrutement consiste à tout mettre en œuvre afin de garder le talent choisi aussi longtemps que possible.

Je détecte un talent

Lors du processus de détection, l’entreprise doit commencer par faire deux choses :

Premièrement, elle doit évaluer ses propres besoins. En effet, il faut savoir ce que l’entreprise recherche comme « talent », afin de détecter une personne avec les capacités et les compétences en adéquation avec le poste recherché. Les capacités d’adaptation et la polyvalence du potentiel talent sont donc un plus pour l’entreprise.

Secondement, elle doit mettre en place différentes façons d’attirer les futurs talents. Afin de représenter un certain attrait auprès des futurs employés, l’entreprise doit mettre en place une communication claire et précise. Lors de cette étape, elle doit trouver un juste équilibre dans les informations qu’elle divulgue (ni trop ni trop peu !), de manière à expliquer les tâches clés.

Pour mieux attirer les futurs talents, il est nécessaire de se focaliser sur la communication de l’entreprise, par exemple montrer ses objectifs très clairement, avoir un slogan accrocheur, ou mettre une introduction sur la spécialité de l’entreprise sur son site web.

Ensuite, elle doit montrer plus visiblement ce que le poste proposé peut apporter en matière de carrière (pour les activités, comme pour les formations).

Finalement donner de petits bonus dans l’offre d’emploi permet de mieux attirer le talent, comme par exemple évoquer la possibilité de promotion, d’un bon de réduction pour une marque quelconque ou la possibilité de formation.

Une fois ces deux étapes définies et mises en place, l’entreprise peut commencer à se lancer dans la sélection de la personne adéquate.

 

Je sélectionne

Lors de la phase de sélection, plusieurs éléments sont à prendre en compte.

Il s’agit d’analyser le comportement des talents sélectionnés et de les évaluer pour voir s’ils pourraient s’adapter au travail de l’entreprise. En évaluant les compétences clés de chaque postulant, il est plus aisé de choisir lequel représente la meilleure option pour l’entreprise et le poste en question ainsi que celui qui apportera une réelle plus-value à l’entreprise.

Une fois le talent sélectionné, il ne tient qu’à l’entreprise qui l’engage de s’assurer que ce nouvel employé prospère et reste dans l’entreprise. Il s’agit en d’autres termes de garder ce talent.

 

Je garde les talents

Lorsque l’entreprise a décidé d’engager le talent, cela ne veut pas dire que le travail est terminé.

Il faut investir du temps dans le développement des employés et regarder plus précisément le rôle qu’ils occupent actuellement et ce qu’ils pourront faire dans le futur. Il faut prendre en compte le fait que chacun a des motivations différentes et faire en sorte que les employés soient les plus satisfaits possible pour les garder à long terme. Cela signifie qu’il faut considérer les employés comme des personnes distinctes et uniques qui constituent la force motrice de la compagnie, et non comme une « valeur marchande ».

Garder un employé, c’est avant tout lui donner envie de rester dans l’entreprise. Cela comprend de créer un environnement positif et stable, mais cela peut aussi consister en de petites attentions (sorties de boîte, récompense des objectifs, repas avec son supérieur de temps en temps) ou en des gestes plus importants (bonus à la fin de l’année, possibilité de promotion et/ou d’épanouissement dans son poste).
Pour cela, l’entreprise doit être claire sur ses propres objectifs, ses propres besoins et sa propre possibilité d’expansion. En identifiant mieux ces trois points, l’employeur pourra alors également les appliquer à l’employé.

Finalement, il est clair que recruter des talents ne doit pas se concevoir dans l’immédiateté, mais dans la durée.
Lors de la sélection du candidat, il faut donc avoir conscience du but de l’entreprise. Le talent est-il compétent ou peut-il développer les compétences nécessaires ? Est-il polyvalent ? L’imagine-t-on évoluer vers un autre poste si nécessaire ? En cas de changements internes à l’entreprise, ce candidat saura-t-il s’adapter ?

Une fois ces questions posées, la satisfaction et l’épanouissement de l’employé devront régulièrement être évalués. Lui donner la possibilité d’avancer, de s’épanouir et d’avoir un intérêt concret dans l’infrastructure même de l’entreprise est un élément à ne surtout pas sous-estimer. De manière générale, recruter un talent signifie donc s’assurer de son épanouissement et de celui de l’entreprise.

Sources : Les EchosSerendiAtmanco

Photo credit : Designed by Freepik

Auteur : Nicolas Jolliet

Travailleur temporaire – les bénéfices pour l’employeur

Travailleur temporaire – les bénéfices pour l’employeur

Travailler à titre temporaire comporte de nombreux avantages. Les contrats à durée déterminée (CDD) confèrent de la souplesse aux entreprises qui font face à des besoins non planifiés (maladie, congé maternité, accident, etc.).

Pour le travailleur temporaire, cela peut également être un tremplin pour accéder au marché du travail ou pour lui permettre de faire un stage-découverte dans de nouvelles entreprises ou de nouvelles fonctions.

L’intérimaire est plus flexible et bénéficie de plus de variété dans le travail. Il a également la possibilité de s’immerger dans de nombreuses entreprises différentes.

Le travail temporaire séduit autant les jeunes que les quadragénaires et les travailleurs temporaires sont de plus en plus nombreux sur le marché du travail. Cette solution convient bien, elle représente le point de départ idéal vers l’emploi fixe.

Le travail temporaire du point de vue de l’entreprise

Dans un contexte économique incertain, le travail temporaire apparaît comme une bonne solution pour un employeur, pour :

• remplacer un salarié absent, dans le cadre d’un congé de longue durée ;
• accroître temporairement une activité nécessitant une hausse d’effectifs ;
• renforcer ponctuellement le personnel pour des projets spéciaux ;
• apporter un regard nouveau sur différents projets ;
• pallier le manque de personnel de manière saisonnière ;

Gagner du temps

Les phases de recrutement et d’intégration sont particulièrement lourdes pour les PME qui ne disposent pas d’une équipe Ressources Humaines (RH). Elles se retrouvent face à des défis de taille, ne possédant ni les outils ni le savoir-faire qui leur permettraient d’exploiter chaque nouveauté et tendance.

Les démarches sont contraignantes, il faut passer l’annonce, sélectionner les candidats, faire passer les entretiens, prendre une décision, rédiger le contrat, faire les démarches administratives, éditer les fiches de paie et éviter les impairs juridiques.

Dans le cas où le poste est à pourvoir sur une courte durée et qu’il ne revêt pas de caractère stratégique, le recours au travail temporaire apparaît donc comme une évidence pour ces petites et moyennes entreprises.

Recruter… Tout un art !

Les PME ont des moyens financiers limités. Les réseaux sociaux professionnels et les banques de données de CV qui œuvrent en tant que « pools » de talents externes se révèlent de plus en plus importants pour ces entreprises.

Chercher et identifier les profils de talents correspondant aux postes à pourvoir exige bien entendu un investissement en temps et une grande expérience. Dans ce cas de figure, l’entreprise « postule » comme potentiel employeur et non l’inverse. Dans une situation idéale, elle engage une personne spécialisée en RH qui aborde directement les candidats et qui possède une expertise dans ce sens. A l’inverse, elle fait appel à une société de recrutement pour l’accompagner.

Recruter via les réseaux sociaux ! Est-ce rentable ?

Dans la plupart des cas, pour les PME, il n’est pas profitable d’orienter leur recrutement via les réseaux sociaux. En effet, pour se faire, il faut assurer une présence en ligne et y obtenir un certain succès, par exemple sur Facebook, Instagram ou Snapchat. Elles doivent alors fournir une quantité importante de contenus hautement qualitatifs. Cet exercice coûte cher. Il est cependant recommandé de recruter via Linkedin ou Xing. Ces plateformes se sont transformées partiellement en portails indépendants de l’emploi.

Le smartphone est devenu également la tendance, et il se transforme de plus en plus en télécommande à distance dans notre vie. La recherche d’emploi n’est pas épargnée. C’est la raison pour laquelle les entreprises adaptent leur site Internet aux appareils mobiles.

Rémunération

En termes de rémunération, l’entreprise ayant recours aux travailleurs temporaires doit verser une rémunération au moins égale au salaire de la personne remplacée et donne accès aux activités et infrastructures mises à la disposition des salariés permanents. Pour faire simple, le travailleur temporaire doit être considéré par l’encadrement comme un salarié permanent. Nombre d’entreprises y ont recours et a fortiori dans les conditions économiques où l’incertain prime. Une fois la décision d’avoir recours au travail temporaire prise, il est nécessaire de connaître quelles sont les étapes à suivre pour y parvenir dans le délai imparti.

Choisir le partenaire

Cette étape est primordiale pour trouver l’employé qui répondra le mieux aux besoins de l’entreprise. Ne désirant pas recruter elle-même, elle s’adresse alors à des prestataires de services en ressources humaines qui se chargeront de cette tâche.

En effet, certaines agences sont réputées pour être généralistes. D’autres se spécialisent dans un secteur d’activité, voire un type d’entreprise. Il est donc nécessaire pour l’entreprise de bien choisir son agence partenaire afin d’augmenter ses chances d’obtenir du personnel qualifié et répondant aux besoins du poste.

Le travail temporaire est pratique – le rôle de l’agence

Il n’y a pas besoin de faire le recrutement, de faire le contrat ni la paie. Il n’y a pas besoin non plus de faire les avenants de renouvellement, le certificat de travail, etc. Les agences soulagent d’une grande partie des tâches de recrutement et de gestion. Les agences constituent un réseau efficace, réactif et professionnel, capable d’apporter des solutions pertinentes dans les cas d’urgence ou les profils rares.

Le travail temporaire permet d’aménager le terme du contrat (« souplesse »).
L’aménagement du terme permet en fin de contrat d’allonger ou de raccourcir de quelques jours la durée du contrat, ce qui peut être très utile, et qui est impossible avec le CDD.

Pour conclure, lorsque l’entreprise éprouve le besoin de recourir au travailleur temporaire, elle doit agir en suivant les axes suivants : cibler les besoins et les compétences nécessaires, choisir le partenaire et établir avec lui un contrat type et enfin réaliser les formalités administratives liées à l’embauche d’un salarié.


Auteur : Anouchka Neuvecelle


Sources :

Career Plus – Travail temporaire

Comptanoo – Travail intérimaire : Avantages et contraintes

Page Personnel – Les avantages des travailleurs temporaires


Photo credit : Pixabay

RH & GAFA : Comment ça marche ?

RH & GAFA : Comment ça marche ?

Les technologies, premier secteur en valorisation boursière

Début 2017, la capitalisation boursière des GAFA (Google, Apple, Facebook, et Amazon) dépassait les 2000 milliards d’euros.

Ces entreprises emblématiques du web occupent les premières places du top 10 des plus grandes capitalisations mondiales. Apple est l’entreprise la plus chère du monde (752 milliards de dollars) et devance Alphabet, la maison mère de Google.
Le secteur des technologies est devenu, et de très loin, le plus important en Bourse, il dépasse celui de la finance. L’ascension a été fulgurante. À peine plus de 10 ans auront suffi pour totalement bouleverser la hiérarchie mondiale !

Passons en revue les géants du web et nous pourrons mieux comprendre comment ils agissent dans le monde du travail.

 

 

Facebook

Le chiffre d’affaires a bondi à 12,5 milliards de dollars, 9’200 employés ont été recensés en 2014. La stratégie de l’entreprise est agressive pour le n° 1 des réseaux sociaux. Les salariés ont des conditions salariales royales et beaucoup travaillent en plateau projet.

 

Apple

Apple a réalisé 183 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2014 et un résultat net de 39,5 milliards de dollars ! Ses employés étaient au nombre de 92’600 avec de nombreux sous-traitants.

Malgré un écosystème fermé, la firme fait rêver en cultivant le paradoxe d’un positionnement de luxe et haut de gamme pour des produits pour tous (iPhone, iPad, etc.). Chaque sortie d’un nouveau produit est un événement scénarisé.

 

Amazon

Le chiffre d’affaires de l’entreprise s’établit à 89 milliards de dollars en 2014, 132’600 salariés dans le monde, des filiales nombreuses comme Amazon Web Services, Alexa, Zappos, Twitch. La croissance de cette entreprise initialement tournée vers la vente de produits culturels est forte avec une volonté de devenir le supermarché planétaire. Amazon innove dans la e-logistique. L’entreprise est résolument tournée vers l’avenir, c’est le GAFA qui dégage le moins de profit.

 

Google aime la créativité
(CA 66 milliards de dollars en 2014)

Google a innové dans son modèle de management en accordant à ses employés 20 % de leur temps pour travailler sur des projets personnels. Quand une idée vient de germer, il n’est pas difficile de travailler seul à temps partiel, mais quand celle-ci a du potentiel à offrir, il faut adopter une autre forme d’organisation.

Concertés autour de « grouplet », des petits groupes de 2 à 10 personnes se réunissent 20% du temps pour travailler autour d’une idée ou d’un projet. Les organisateurs de « grouplet » se retrouvent une fois par semaine pour voir s’ils n’empiètent pas les uns sur les autres. Les têtes dirigeantes peuvent avoir une vision globale des projets en cours.

Un exemple de « grouplets » ingénieux est celui prénommé « Bonheur des clients ». Il s’occupe de régler les bugs de sévérité faible qui peuvent gâcher la vie des utilisateurs des services du géant, comme des raccourcis clavier qui ne fonctionneraient pas sur tous les navigateurs internet du marché.

 

Le profil idéal pour bosser chez Google : smart and creative

Le profil idéal « smart creative » a la vocation d’imaginer et de lancer des produits hallucinants dans des délais tout aussi hallucinants. Vous pensez avoir l’étoffe d’un smart creative ? Si c’est le cas, Google fera tout pour laisser s’épanouir votre talent principal : la capacité à d’élaborer des projets et de les reproduire à grande échelle.
À l’instar des géants du Web, une grande partie des sociétés européennes vantent le « flexwork » : une juxtaposition esthétique de confortables mini open spaces et de salles de réunion translucides.

 

Espace spécifique

Chaque espace a un usage spécifique : visioconférence, rencontre en face à face ou à trois, comité à dix personnes ou bien encore séance de créativité pieds nus sur une moquette verte. Dans ces nouvelles configurations, l’ordinateur portable résume le bureau. Le poste individuel « statutaire » ayant disparu, le PC héberge désormais la ligne directe, les photos de famille et les dossiers.

Chaque matin, le salarié choisit de s’installer, selon son planning, dans son « village » ou son « quartier » de rattachement où il optera pour une table de travail, une salle de réunion ou une « quiet room », à moins qu’il préfère le bourdonnement de la cafétéria ou du patio extérieur.

Dans ce modèle de l’économie numérique, chacun serait devenu individuellement son propre entrepreneur, lié aux autres par des relations purement contractuelles. Le travail salarié aurait complètement disparu, ne subsisteraient que des individus atomiques se liant et se déliant à l’opportunité de chaque contrat, entièrement responsables de leur production.

Un tel modèle est rendu possible par les très faibles coûts d’immobilisation du numérique : un développeur armé d’un bon PC et de connaissances poussées en programmation peut soulever le monde. Enfin, les coûts de reproduction et de diffusion tombent quasiment à zéro dans cette industrie virtuelle.

 

Les géants du numérique, des nains en termes d’emploi

Cela a une conséquence majeure sur l’emploi, car ces nouveaux géants sont des « nains ». Amazon, qui arrive en tête et de loin avec 230’800 employés, ne pointe qu’à la 74e position du classement mondial , Microsoft à la 194e, Apple à la 211e et Google à la 311e. Quant à Facebook, avec à peine plus de 10’000 salariés, il n’intègre même pas le classement des 500 plus grands employeurs. Au total, ce sont moins de 531’000 emplois cumulés, soit à peine le quart des effectifs de Wal-Mart, premier employeur de la planète.

C’est un fait, une poignée d’entreprises capte désormais une part de la valeur mondiale sans rapport aucun avec leurs effectifs, avec pour autre point commun de faire travailler le consommateur… le fameux consomm’acteur. Et c’est leur tour de génie, car ce travail est gratuit.

Plus les internautes donneront leur opinion sur des produits et moins une entreprise aura besoin d’investir sur des études de marché. Il y aura donc diminution des postes de travail, à moins que l’on assiste à une véritable « refonte » des métiers de la communication. Les métiers d’avenir requièrent créativité et flexibilité.

Auteur : Hélène Thibaud

Sources :

Classement des GAFA

Les Echos – Travailler comme les GAGA

Le Figaro – Les GAFA élevés ua rang de puissance diplomatique

Xerfi Synthèse – L’envol des géants du numérique

Photo credit : adiruch na chiangmai via fotolia.com