Sélectionner une page
Le Quotient Emotionnel : Une Clé du Management Efficace en Suisse Romande

Le Quotient Emotionnel : Une Clé du Management Efficace en Suisse Romande

Le quotient émotionnel (QE), ou intelligence émotionnelle (IE), est un concept de plus en plus prisé dans le monde du management, notamment en Suisse Romande, où les entreprises s’efforcent de développer un environnement de travail harmonieux et performant. Mais qu’est-ce que le quotient émotionnel, et pourquoi est-il si important pour les managers d’aujourd’hui ? Cet article explore cette notion et son impact sur le management.

 

Qu’est-ce que le Quotient Emotionnel ?

 

Le quotient émotionnel fait référence à la capacité d’un individu à reconnaître, comprendre et gérer ses émotions, ainsi que celles des autres. C’est une aptitude qui va bien au-delà des simples compétences techniques : elle inclut des aspects comme l’empathie, la gestion du stress, l’écoute active et la régulation émotionnelle. Le QE est souvent décomposé en cinq grandes compétences :

 

  1. La conscience de soi : La capacité à identifier et comprendre ses propres émotions.
  2. La gestion de soi : La capacité à réguler ses émotions de manière positive et constructive.
  3. La motivation : La capacité à se motiver et à se fixer des objectifs.
  4. L’empathie : L’aptitude à comprendre et partager les émotions des autres.
  5. Les compétences sociales : La capacité à gérer efficacement les relations interpersonnelles.

 

Le Quotient Emotionnel dans le Management

 

Le management en Suisse Romande, comme ailleurs, se distingue par son orientation vers le bien-être des employés, la collaboration et la performance collective. Les managers qui cultivent un fort quotient émotionnel peuvent mieux naviguer dans des situations de stress, résoudre des conflits avec empathie et motiver leurs équipes à atteindre des objectifs communs. Voici quelques raisons pour lesquelles le QE est essentiel dans le management :

 

1. Améliorer la communication et les relations interpersonnelles

 

Les leaders émotionnellement intelligents savent écouter et comprendre les besoins, préoccupations et émotions de leurs collaborateurs. Cette capacité à créer des liens humains forts dans l’entreprise renforce la confiance et la cohésion d’équipe, deux éléments clés d’un environnement de travail sain. Les collaborateurs se sentent écoutés, compris, et plus enclins à partager leurs idées et défis.

 

2. Favoriser un environnement de travail positif et réduire le stress

 

Les managers avec un quotient émotionnel élevé savent comment gérer les émotions négatives au sein de l’équipe, qu’il s’agisse de stress, de frustration ou de conflits. Ils utilisent des compétences telles que la gestion du stress et l’empathie pour réduire les tensions et maintenir un climat de travail serein. Cela est particulièrement important en Suisse Romande, où l’équilibre entre vie professionnelle et personnelle est crucial.

 

3. Renforcer la capacité à résoudre les conflits

 

Les conflits sont inévitables dans tout environnement de travail. Cependant, un manager doté d’une forte intelligence émotionnelle sera en mesure de désamorcer les tensions et de résoudre les conflits de manière constructive. En écoutant toutes les parties concernées et en faisant preuve d’empathie, il crée un espace sûr pour les échanges, permettant ainsi de trouver des solutions qui bénéficient à l’ensemble de l’équipe.

 

4. Motiver les équipes et améliorer les performances

 

Un bon manager émotionnellement intelligent sait comment motiver ses équipes. Il comprend ce qui anime chaque membre de l’équipe et ajuste son approche pour encourager l’engagement. L’intelligence émotionnelle permet également de fixer des objectifs réalistes et d’encourager les progrès, ce qui conduit à de meilleures performances.

 

5. Favoriser la prise de décision éthique et réfléchie

 

Le quotient émotionnel permet de prendre des décisions en tenant compte des implications émotionnelles et humaines, tout en équilibrant la logique et l’intuition. Les leaders émotionnellement intelligents prennent des décisions qui respectent non seulement les objectifs d’affaires, mais aussi les besoins et les valeurs humaines, essentielles pour un leadership authentique et durable.

 

Pourquoi le Quotient Emotionnel est Crucial en Suisse Romande

 

En Suisse Romande, les entreprises mettent de plus en plus l’accent sur des valeurs telles que l’empathie, la collaboration et le bien-être au travail. Le leadership humain est désormais au cœur des stratégies de management, en particulier dans des secteurs où la gestion du capital humain est un facteur clé de succès.

 

Les entreprises qui investissent dans le développement du quotient émotionnel de leurs managers créent un environnement plus positif, inclusif et adapté aux défis modernes. La capacité à gérer les émotions dans un monde de plus en plus complexe et rapide devient ainsi un atout décisif pour rester compétitif et maintenir une équipe soudée et motivée.

 

Conclusion : Le Quotient Emotionnel, un Pilier pour les Managers en Suisse Romande

 

Le quotient émotionnel est bien plus qu’une compétence personnelle. Dans le monde du management en Suisse Romande, il est devenu un véritable levier pour construire des équipes performantes, harmonieuses et résilientes. En développant cette compétence, les managers peuvent non seulement améliorer leur propre efficacité, mais aussi offrir à leurs collaborateurs un environnement de travail où l’humain est au cœur des préoccupations. Le leadership émotionnel est donc un véritable moteur pour la réussite collective, et plus que jamais essentiel dans le contexte économique et social actuel.

 

 

 

Travailleur temporaire – les bénéfices pour l’employeur

Travailleur temporaire – les bénéfices pour l’employeur

Travailler à titre temporaire comporte de nombreux avantages. Les contrats à durée déterminée (CDD) confèrent de la souplesse aux entreprises qui font face à des besoins non planifiés (maladie, congé maternité, accident, etc.).

Pour le travailleur temporaire, cela peut également être un tremplin pour accéder au marché du travail ou pour lui permettre de faire un stage-découverte dans de nouvelles entreprises ou de nouvelles fonctions.

L’intérimaire est plus flexible et bénéficie de plus de variété dans le travail. Il a également la possibilité de s’immerger dans de nombreuses entreprises différentes.

Le travail temporaire séduit autant les jeunes que les quadragénaires et les travailleurs temporaires sont de plus en plus nombreux sur le marché du travail. Cette solution convient bien, elle représente le point de départ idéal vers l’emploi fixe.

Le travail temporaire du point de vue de l’entreprise

Dans un contexte économique incertain, le travail temporaire apparaît comme une bonne solution pour un employeur, pour :

• remplacer un salarié absent, dans le cadre d’un congé de longue durée ;
• accroître temporairement une activité nécessitant une hausse d’effectifs ;
• renforcer ponctuellement le personnel pour des projets spéciaux ;
• apporter un regard nouveau sur différents projets ;
• pallier le manque de personnel de manière saisonnière ;

Gagner du temps

Les phases de recrutement et d’intégration sont particulièrement lourdes pour les PME qui ne disposent pas d’une équipe Ressources Humaines (RH). Elles se retrouvent face à des défis de taille, ne possédant ni les outils ni le savoir-faire qui leur permettraient d’exploiter chaque nouveauté et tendance.

Les démarches sont contraignantes, il faut passer l’annonce, sélectionner les candidats, faire passer les entretiens, prendre une décision, rédiger le contrat, faire les démarches administratives, éditer les fiches de paie et éviter les impairs juridiques.

Dans le cas où le poste est à pourvoir sur une courte durée et qu’il ne revêt pas de caractère stratégique, le recours au travail temporaire apparaît donc comme une évidence pour ces petites et moyennes entreprises.

Recruter… Tout un art !

Les PME ont des moyens financiers limités. Les réseaux sociaux professionnels et les banques de données de CV qui œuvrent en tant que « pools » de talents externes se révèlent de plus en plus importants pour ces entreprises.

Chercher et identifier les profils de talents correspondant aux postes à pourvoir exige bien entendu un investissement en temps et une grande expérience. Dans ce cas de figure, l’entreprise « postule » comme potentiel employeur et non l’inverse. Dans une situation idéale, elle engage une personne spécialisée en RH qui aborde directement les candidats et qui possède une expertise dans ce sens. A l’inverse, elle fait appel à une société de recrutement pour l’accompagner.

Recruter via les réseaux sociaux ! Est-ce rentable ?

Dans la plupart des cas, pour les PME, il n’est pas profitable d’orienter leur recrutement via les réseaux sociaux. En effet, pour se faire, il faut assurer une présence en ligne et y obtenir un certain succès, par exemple sur Facebook, Instagram ou Snapchat. Elles doivent alors fournir une quantité importante de contenus hautement qualitatifs. Cet exercice coûte cher. Il est cependant recommandé de recruter via Linkedin ou Xing. Ces plateformes se sont transformées partiellement en portails indépendants de l’emploi.

Le smartphone est devenu également la tendance, et il se transforme de plus en plus en télécommande à distance dans notre vie. La recherche d’emploi n’est pas épargnée. C’est la raison pour laquelle les entreprises adaptent leur site Internet aux appareils mobiles.

Rémunération

En termes de rémunération, l’entreprise ayant recours aux travailleurs temporaires doit verser une rémunération au moins égale au salaire de la personne remplacée et donne accès aux activités et infrastructures mises à la disposition des salariés permanents. Pour faire simple, le travailleur temporaire doit être considéré par l’encadrement comme un salarié permanent. Nombre d’entreprises y ont recours et a fortiori dans les conditions économiques où l’incertain prime. Une fois la décision d’avoir recours au travail temporaire prise, il est nécessaire de connaître quelles sont les étapes à suivre pour y parvenir dans le délai imparti.

Choisir le partenaire

Cette étape est primordiale pour trouver l’employé qui répondra le mieux aux besoins de l’entreprise. Ne désirant pas recruter elle-même, elle s’adresse alors à des prestataires de services en ressources humaines qui se chargeront de cette tâche.

En effet, certaines agences sont réputées pour être généralistes. D’autres se spécialisent dans un secteur d’activité, voire un type d’entreprise. Il est donc nécessaire pour l’entreprise de bien choisir son agence partenaire afin d’augmenter ses chances d’obtenir du personnel qualifié et répondant aux besoins du poste.

Le travail temporaire est pratique – le rôle de l’agence

Il n’y a pas besoin de faire le recrutement, de faire le contrat ni la paie. Il n’y a pas besoin non plus de faire les avenants de renouvellement, le certificat de travail, etc. Les agences soulagent d’une grande partie des tâches de recrutement et de gestion. Les agences constituent un réseau efficace, réactif et professionnel, capable d’apporter des solutions pertinentes dans les cas d’urgence ou les profils rares.

Le travail temporaire permet d’aménager le terme du contrat (« souplesse »).
L’aménagement du terme permet en fin de contrat d’allonger ou de raccourcir de quelques jours la durée du contrat, ce qui peut être très utile, et qui est impossible avec le CDD.

Pour conclure, lorsque l’entreprise éprouve le besoin de recourir au travailleur temporaire, elle doit agir en suivant les axes suivants : cibler les besoins et les compétences nécessaires, choisir le partenaire et établir avec lui un contrat type et enfin réaliser les formalités administratives liées à l’embauche d’un salarié.


Auteur : Anouchka Neuvecelle


Sources :

Career Plus – Travail temporaire

Comptanoo – Travail intérimaire : Avantages et contraintes

Page Personnel – Les avantages des travailleurs temporaires


Photo credit : Pixabay

Les biais inconscients

Les biais inconscients

Ou comment notre histoire personnelle conditionne nos actions et nos pensées.

En tant qu’individu, nous avons tous tendance à nous comporter et à juger les choses selon nos propres références résultant de notre éducation, notre genre, notre religion et de notre système de valeurs.

Ces mécanismes, bien qu’inconscients, peuvent nous conduire à des erreurs dans la perception de notre environnement et être des obstacles dans la rencontre entre l’autre et soi.

Les travaux du psychiatre américain Aaron Beck sur les schémas de pensées, puis ceux des psychologues Amos Tversky et Daniel Kahneman (Prix Nobel en Sciences Economiques 2002) ont théorisé le rôle de ces biais cognitifs et leur impact sur notre comportement, notre raisonnement et notre prise de décision.

Ces raccourcis mentaux sont simplificateurs et globalisants et puisent directement dans notre cerveau néolimbique, siège de notre vécu et de nos connaissances. Ils donnent souvent une image erronée, non fondée et injuste, ce qui entraîne des préjugés qui peuvent nous faire adopter une attitude totalement inadaptée.

S’il est difficile de s’en affranchir, les identifier permet au moins d’en atténuer leur influence. On peut en dénombrer une soixantaine. Développons ici les plus fréquents (vous trouverez la liste complète de ceux-ci en fin d’article).

Le biais d’ancrage ou la conviction que notre première impression est la bonne

Prenons l’exemple d’un nouveau collègue, arrivant les premiers jours très tôt au bureau. Nous allons vite penser qu’il sera là toujours très tôt.

La première impression n’est pas toujours la plus rationnelle et pourtant c’est ce que le biais d’ancrage va nous laisser croire.

Ce biais-là est très puissant car il s’appuie sur les mémoires fabriquées dans notre cerveau et de quelle manière celles-ci persistent malgré notre volonté.

Pour contrer ce réflexe, il nous faudra scruter notre façon de penser pour essayer de le supprimer.

Le préjugé ou le jugement inconsidéré et définitif sur une personne ou un groupe sans suffisamment les connaître

Les préjugés nous sont inculqués par notre milieu social, notre culture et notre éducation, et sont influencés par l’époque. Ils peuvent être conscients et explicites mais également implicites, ancrés dans notre inconscient. C’est pourquoi ils sont très difficiles à modifier ou à supprimer.

Les préjugés naissent souvent de stéréotypes véhiculés par des représentations sociales figées. Ce sont des opinions instinctives, extrêmement simplificatrices à l’encontre d’un groupe ou d’une communauté.

Allons plus en profondeur :

Un recruteur va discriminer tel ou tel individu d’un groupe, appelons-le le groupe A. En effet, le commanditaire du recrutement lui a expressément demandé de ne pas sélectionner de membre du groupe, ayant un préjugé très négatif les concernant, les membres de ce groupe ayant pour cette personne une réputation de paresseux et manquant de sérieux au travail.

Parce que les préjugés nous sont inculqués par notre environnement, s’en défaire exige une prise de conscience, un travail sur soi.

Développer des compétences interpersonnelles et acquérir une curiosité pour l’autre, en voyageant, en fréquentant des groupes de différentes cultures serait une piste pour combattre ces préjugés qu’on a tous, au fond de nous.

Le biais d’optimisme ou la tendance à voir la vie en rose

Ce mécanisme de pensée repose sur la probabilité que l’individu accorde plus d’importance à sa perception subjective du risque qu’aux données fournies par son environnement. En substance, il s’agit d’une tendance systématique à surestimer nos chances et sous-estimer les risques que nous encourrons.

Un analyste financier, par un excès de confiance dû à sa subjectivité, peut surestimer les bénéfices de la société XYZ et recommander à ses clients d’acheter massivement des actions de cette société. Seulement celui-ci n’a pas considéré préalablement, les risques liés à la branche de la société ou la volatilité de l’action sur les marchés boursiers.

Ce biais-là est une caractéristique commune à 80% de la population humaine. Certains pensent même qu’il s’agit d’un formidable moteur pour l’espèce humaine, car trop de réalisme bloquerait l’initiative.

Un gage de bonne santé mentale? Nous pouvons l’imaginer, surtout lorsque nous observons que les régions cérébrales particulièrement actives chez les optimistes sont justement celles qui le sont peu chez les dépressifs.

Le biais d’optimisme est aussi une bonne chose pour la santé et le bien-être général. «L’espoir apaise l’esprit, diminue le stress et améliore la santé physique».

Un minimum d’introspection est indispensable afin d’identifier les biais qui nous dominent et de comprendre leurs processus qui nous conduisent à de nombreuses maladresses avec autrui mais également avec nous-même.

 

Liste des biais inconscients :

Les biais attentionnels :

Cela signifie que nos perceptions sont influencées par ses propres centres d’intérêts ;

Les biais de jugement :

Ce type de biais comprend de nombreuses catégories :

  • Ancrage mental : Influence laissée par la première impression ;
  • Préjugé : Jugement pré-établi envers une personne ou tout un groupe ;
  • Biais égocentrique : Se juger sous un meilleur jour qu’en réalité ;
  • Illusion de savoir : Se fier à de mauvaises croyances pour appréhender une réalité et ne pas chercher à recueillir d’autres informations ;
  • Effet Dunning-Kruger : les moins compétents dans un domaine surestiment leur compétence alors que les plus compétents ont une tendance à sous-estimer leur compétence ;
  • Effet de simple exposition : avoir préalablement été exposé à quelqu’un ou à une situation le/la rend plus positive.

Les biais de raisonnement :

  • Perception sélective : Interpréter de manière sélective des informations en fonction de sa propre expérience ;
  • Biais de disponsabilité : Ne pas chercher d’autres informations que celles immédiatement disponibles ;
  • Biais de confirmation d’hypothèse : Préférer les éléments qui confirment plutôt que ceux qui infirment une hypothèse ;
  • Biais d’appariement : Se focaliser sur les éléments contenus dans l’énoncé d’un problème.

Les biais liés à la personnalité :

  • Biais culturel : Tendance à juger et interpréter les choses, les problèmes ou les évènements à partir uniquement de ses propres références culturelles ;
  • Biais d’optimisme irréaliste : Parfois présenté comme un « non-pessimisme dispositionnel » ou croyance individuelle où le sujet se juge moins exposé à la plupart des risques qu’autrui ;
  • Conformisme : Chercher à ressembler à la majorité.

Texte par : Patricia Ulanowski

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_cognitif

Photo credit : ibreakstock via fotolia.com

 

Le télétravail tue-t-il la culture d’entreprise ?

Le télétravail tue-t-il la culture d’entreprise ?

Le télétravail permet aux employés, appelés des télétravailleurs, de travailler à l’extérieur des bureaux de leurs employeurs par le biais d’outils informatiques et de télécommunication. Dans certaines sociétés, il fait même partie de la culture d’entreprise, mais ne se prête pas à tous les métiers, évidemment.

Nous plongeons dans l’univers du télétravail et vous donnons notre constat des avantages et inconvénients, pour l’employer comme l’employeur.

 

Virigine (prénom d’emprunt), qui « télétravaille » régulièrement, soit environ un à deux jours par semaine, nous a confié que ce mode de travail s’adresse à des personnes organisées et disciplinées: déterminer les plages horaires durant lesquelles travailler et s’y tenir, mais également faire attention à ne pas faire un nombre excessif d’heures … Lorsqu’elle fait du télétravail, Virginie est en contact régulier avec son supérieur hiérarchique par email et/ou via l’intranet de la société. Selon elle, c’est un plus pour l’employeur qui a des employés plus heureux.

 

Un employé plus heureux

Effectivement, le fait de travailler chez soi au calme est un grand bénéfice pour le télétravailleur. D’ailleurs, le taux de productivité s’en trouve amélioré puisqu’il permet une optimisation de son temps de travail, et que l’employé est moins distrait par ses collègues et/ou les bruits environnants de son bureau.

Le télétravail représente un gain de temps et d’argent important pour l’employé (pas de frais de déplacement, de nourriture, ou de stationnement), et c’est aussi un facteur fondamental de diminution du stress. Notons aussi que c’est idéal par exemple pour les femmes au foyer, car le télétravail va leur permettre une meilleure conciliation du temps de travail et de la vie de famille grâce à un horaire plus souple, mais également pour toute personne qui souhaite s’investir dans d’autres activités.

Pour rattraper le temps qu’elle n’a pas passé avec ses collègues pendant son télétravail, lorsque Virigine est de retour au bureau, elle va boire un café, dîner avec eux, ou encore faire une activité team-building. Pas question pour elle de manquer quoi que ce soit de la «vie de bureau»! La culture d’entreprise est certes moins présente quand l’employé travaille à la maison, mais il lui incombe de se tenir au courant de ce qui se passe et de faire en sorte de «rester dans le coup».

Pour l’employeur, parmi les nombreux avantages, citons: une diminution du taux de roulement du personnel et de l’absentéisme, ainsi qu’une fidélisation de ses employés.

Il semblerait que ce mode de travail comporte plus de bénéfices que nous l’imaginons, alors c’est peut-être une option à prendre davantage en compte à l’avenir: une façon harmonieuse d’intégrer le travail dans sa vie pour les uns, et pour les autres, une chance de laisser ses employés aménager leur vie autour du travail…

 

En conclusion, le télétravail est un accord «win-win» entre l’employeur et l’employé. Elle est donc une culture d’entreprise en soi puisque le but est de rendre les employés plus heureux et plus efficaces.

Photo credit: Unsplash via Pixabay, CC0 Public Domain License

Source: https://defiinnovationestrie.ca /archives/8173

Par Patricia Beranek

Histoire de perception…

Histoire de perception…

English Version:

A child’s map of the world

“A child’s map of the world can sometimes make an adult think again! This truth is neatly illustrated by the following delightful snippet.

 

A policeman was sitting in his police van with his canine partner when he noticed a little boy staring in at them. The boy asked if that was a dog in the van. The policeman confirmed that the other occupant of the van was indeed a dog. The little boy got extremely puzzled and asked, ‘What’s he done to get arrested?’ ”

Sometimes … or often … our map of the world doesn’t make sense for people around us and vice-versa! Asking the right questions to make sure we visualize our counterpart’s  world map is crucial for successful communication!

Source: Personal Development All-in-One For Dummies, 2012, page 17.

Any examples of your own?

 

Version Française:

« La carte du monde d’un enfant » – inspiration pour son développement personnel

La carte du monde d’un enfant peut amener un adulte à réfléchir ! Cette vérité est joliment illustrée par l’anecdote suivante.

Un agent de police était assis dans son fourgon avec son partenaire canin, quand il remarqua un petit garçon qui les fixait. Le garçon demanda si c’était bien un chien assis dans le fourgon. L’agent lui confirma que le deuxième occupant du fourgon était bien un chien. Le petit garçon, interloqué, demanda alors : « Mais qu’est-ce qu’il a fait pour se faire arrêter ? »

Source: Personal Development All-in-One For Dummies, 2012, page 17.

Parfois … ou même souvent … notre carte du monde n’as pas de sens pour les gens autour de nous et vice-versa! Poser les bonnes questions et se poser les bonnes questions, pour s’assurer d’avoir bien visualisé la carte du monde de notre interlocuteur, est crucial pour une communication efficace !

 

Et vous? Des exemples à partager ?

Pour parfaire vos compétences dans ce domaine, Swissnova peut vous soutenir, pour plus d’informations, cliquez ici.

Image de: Photos Libres